LA NATURE A HORREUR DU VIDE
Fréquentation de "La chambre vide" de Marion Baruch avant la découverte de Michael Landy.
Le son est épouvantable (j'ai trouvé cette video sur le net). C'est juste pour montrer le lieu. Dans cette pièce où Marion nous recevait avec beaucoup de chaleur, j'ai vécu de très beaux et bons moments. J'y allais seule, avec des copines, avec mes enfants. Discussion, informations, échanges d'idées, chants, thé, repas avec les personnes qui se trouvaient là, des inconnus. Le contact s'établissait avec une facilité bouleversante. Ce vide, c'était comme le silence : repos, ouverture, présence, ouverture, réceptivité. Un futon était mis à la disposition de celui ou de celle qui avait envie de dormir dans cette chambre vide.
« mon corps où es-tu ? »
une chambre vide processus en marche, halte sur le chemin…
32 rue Sorbier, Paris 20e, métro Gambetta
chez Marion Baruch